Bien entendu, vous devez être attentif à tout plainte pouvant indiquer un problème cardiaque (douleur thoracique, essoufflement, palpitations, jambes et chevilles gonflées, fatigue inhabituelle, difficultés à accomplir des tâches effectuées jusque-là sans problème) ou cérébral (troubles soudains et passagers de la vision ou de l’élocution, sensation de faiblesse dans les membres, confusion). Parlez-en avec votre médecin et demandez-lui d’établir un profil de risque cardiovasculaire personnel. Vous pourrez alors envisager l’approche la plus adaptée à votre situation. Différentes options, qu’elles soient médicamenteuses ou non, peuvent être envisagées.
Si vous êtes ménopausée, vous avez également la possibilité de jouer un rôle actif dans la réduction de votre risque cardiovasculaire en adoptant ou en renforçant un mode de vie sain (arrêt du tabac, alimentation saine et variée, exercice physique suffisant, bonne hygiène de sommeil, contrôle du poids, surveillance de la pression artérielle). Dans la plupart des cas, cette approche saine suffira à réduire votre risque cardiovasculaire et à vous éviter un accident cardio ou cérébro-vasculaire.
Le cas échéant votre médecin pourra renforcer votre démarche en vous prescrivant les médicaments appropriés. Votre médecin est la personne la mieux placée pour savoir si vous pouvez et/ou dois envisager un traitement, dans quelles conditions et pendant combien de temps.
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