Conséquences physiques et psychologiques graves

Leur impact est le plus important au cours des deux premières années de la ménopause, mais elles peuvent persister longtemps. On estime que 60% des femmes en sont libérées après 7 ans, mais jusqu’à 15% s’en plaignent encore après 10 ans et plus.

Une altération notoire de la qualité de vie liée aux bouffées de chaleur est constatée chez environ une femme sur 10.

Dans tous les cas la charge physique et psychique directe et indirecte (retentissement sur le sommeil, sur l’humeur, sur les tâches de la vie courante, sur l’image de soi) que représentent les bouffées de chaleur ne doit pas être sous-estimée. Une évaluation la plus précise possible est cruciale pour l’élaboration d’approches thérapeutiques personnalisées appropriées.

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